• La belle histoire du joyeux compagnon

    Oyé la belle histoire du joyeux compagnon

    Qui s'en alla faire son tour de France des passions

    La musique en bagage et la fougue de l'âge

    Il descendit de l'Oil vers le pays d'Oc

     

    La langue pas pareil des oui plein de soleil

    La musique réveille les lendemains sommeil

    On s'est bien vu hier je ne te connais pas

    On parlait d'éphémères tu ne m'as jamais vu

     

    Au pays d'Oc et D'Oil il y a par les rues

    Des porteurs de breloques et quelques parvenus

    De belles femmes aussi dont la musique folle

    Le silence qui suit s'enfuit si tu les suis

     

    Le jeune compagon tomba bien malgré lui

    Sur une fleur d'ennui belle comme la nuit

    La donzelle difficile fut touchée par le coeur

    Du compagnon dont l'île avait d'autres senteurs

     

    Elle en fit son amant et caressant le temps

    Lui parla de chez elle et l'aima dans l'intsant

    Un jour ce fut la nuit deux languages par ici

    Les rêves de l'esprit la belle s'en partit

     

    Le compagnon hagard reprenant son chemin

    Y découvrit plus tard la musique des matins

    De longues heures alors écouta l'apparence

    Du verbiage des fleurs parties en transumance

     

    C'est le coeur à moitié qu'il traversa la Loire

    Le rêve en entier et le corps en espoir

    La musique éclairée par les songes du soir

    Où la belle revenait en laissant son boudoir

     

    Il arrive au pays où tout le monde se tait

    Il fit bien des surpris à chantonner les blés

    Est-ce donc permis de chatouiller l'été

    Cela n'est pas d'ici le compagnon se tait

     

    Ou du moins il essaie le language est un don

    Pourtant non travaillé irrigue les pulsions

    Des premies arrivés et de tous les couillons

    Qui voient l'éternité dans leur seule raison

     

    Faut-il donc repartir et rentrer au pays

    Faut-il donc en finir de cette belle envie

    La musique du pire et le sublime aussi

    Patiemment compagnon le silence apprit

     

    De compagnon un jour on pose ses bagages

    Celui de mon histoire les posa sur une plage

    Ou la mer emporta les chaînes d'en autre âge

    Invita compagnon vers un autre voyage

     

    Le poête chantait que la Terre était ronde

    Et que le bel amour n'avait pas à s'en faire

    Tous les bateaux s'en vont autour de la sphère

    Où l'humain je l'espère écoutera le monde

     

     

     


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