-
La traversière
Quand j'étais pas bien grand me vint comme une envie
D'une flute traversière qui juste me disais
Qu'elle pourrait transporter les rèves et les envies
Voire même la pensée en ce monde éphémère
Après qu'un musicien un accordéonniste
M'expliqua rapidement les règles de la piste
Je partis par le monde oubliant l'air triste
La flute sur le coeur qu'il faut au flutiste
La suite parrait simple sauf qu'au détour des jours
Une belle princesse passant aux allentours
Séduit le beau flutiste et tritura son coeur
Qu'il ne pu même un mi sur l'instrument réveur
Il passa des annés sur le silence même
Qu'avant cette drôle d'hisoitre d'autres lui disait
Il cherchait intérieur le pourquoi du problème
Qu'à l'extérieur parfois on arrive à trouver
Alors au placard la flute silencieuse
Décida de se taire même pour son amant
Et jura que plus tard quand on la sent réveuse
Elle tairait les airs qu'elle fait en chantant
Un peu plus tard donc l'homme se trouve bien seul
Et là bien délaissé refouille ses tiroirs
Y redécouvre belle la flute qui fut rieuse
Y ose comme un souffle qu'elle transforme en linceul
Ainsi donc toi aussi quand le monde m'abandonne
Tu tonne ton dénit dit l'homme sans le son
J'étais toute ta vie dit la flute qui somme
L'homme de se mettre au pied à ses genoux
A genoux je me mets reviens moi s'il te plait
Il me plaira peut être quand j'aurais décidé
Avant l'heure tu peux juste à mes cotés
Alors seulenemt je pourrais te donner
L'histoire ne dit pas ce qu'il fut de la suite
Pourtant et croyais moi hier j'ai entendu
Comme un souffle dans le vent, comme un air de flute
Qui transpercait le coeur et les coprs en entier
-
Commentaires