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Par lalex76 le 24 Septembre 2011 à 08:19
Je t'ai rêvé belle demoiselle
J'ai osé te donner la dentelle
Passé l'été à faire qu'elle soit belle
C'est du passé laissé au carrouselle
Puis j'ai dormi il faut bien survivre
Dans une grand lit et même parfois ivre
Et j'ai vogué sur la pointe des livres
Que tu lisais et j'ai aimais le livre
Qui s'écrivait celui de ton silence
Qui s'effaçait celui de ton absence
Qui n'existait que par la présence
Qui s'envolait comme parfois je pense
Le vent qui passe et embarque tout ça
N'y a-t-il place pour l'amour ici bas
Le vent qui fuit et qui revient
C'est dans la nuit comme tu me souris
Le chat s'en occupe et fait la place nette
Sa toilette l'occupe et c'est jour de fête
Il sait bien les caresses de belles inconnues
Qui avec quelque ivresse l'emmènent dans les nues
Le livre à lire est celui à écrire
Celui à rire est bien celui qui fut
Livre à prédire cela n'existe plus
Livre d'avenir celui t'aurait déplu
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Par lalex76 le 21 Septembre 2011 à 22:56
J'ai vu le dessin de tes mains
Et la douceur et les câlins
Faut-il s'étonner
De tes mains?
Aperçu la lumière de tes yeux
Et je n'ai rien connu de mieux
Faut-il s'étonner nom de Dieu
De tes yeux?
J'ai bien vu ton intelligence
C'est un brasier qui pense
Faut-il s'étonner d'la relance
vers les sens?
J'ai cru la chaleur
J'ai bu le bonheur
Et belle erreur
J'ai donné mon cœur
Aperçu la courbe de tes seins
C'était sous un pull marin
Faut-il s'étonner de la fin
De tes seins?
J'ai vu la courbure de tes hanches
Et je n'ai eu que ton absence
Faut-il s'étonner que je pense
A tes hanches?
Je n'ai jamais vu ton nombril
Est-ce une fleur fragile?
Dois-je m'étonner de l'île
De ton nombril?
J'ai cru la chaleur
J'ai bu le bonheur
Et belle erreur
J'ai donné mon cœur
Je suis un camera
Parfois je te voit
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Par lalex76 le 20 Septembre 2011 à 21:34
Une légende d'ailleurs raconte cette histoire
Celle d'un voyageur qui se perdit le soir
Il erra malgré l'heure et en grand désespoir
Il vit une lueur, s'y dirigea pour voir
C'est une belle tour d'où résonne un son
Un appel alentour qui vibre à l'unisson
Qui réchauffe le cœur de cette âme perdue
Pourtant en avait vu même affronté les peurs
Une belle demoiselle paraît à la fenêtre
Aperçoit bien surprise les errements de l'être
Ce doit être un rôdeur mais je suis protégée
Il n'a pas la grandeur et me paraît bien lai
Alors le voyageur à son tour aperçoit
De haut de sa grandeur cette belle aux abois
Et lui déclare la flamme qui brûle dans son cœur
Il a cherché ailleurs et il la veut pour femme
Mais enfin bon monsieur qui êtes-vous déjà
Vous êtes à peine là et vous criez au feu
Que nenni demoiselle je sais ce que je dis
Et je viendrai ici chaque nuit à la belle
Et les jours passèrent et les saisons aussi
Au pied de la passerelle de la tour endormie
Voyageur attendit un regard de la belle
Attendit de plus belle juste qu'elle lui sourit
Cela est embêtant ce rôdeur de la nuit
Il m'arrive pourtant penser un peu à lui
A-t-il froid a-t-il faim a-t-il quelque ennui
Il sera là demain comme il est cette nuit
Pourtant un jour vint le voyageur partit
Et sans en dire rien et sans rien qu'il ne fuit
Aller voir plus loin sur le chemin de vie
La lueur du matin et les desserts aussi
La belle l'attendit mais il ne revint plus
Elle sortit de sa tour et chercha dans les rues
Et plus loin qu'alentour il avait disparu
Est-ce une histoire d'amour? une légende de plus!
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Par lalex76 le 17 Septembre 2011 à 09:02
Une belle fleur avait mis ses bottes de sept lieux
Pour survoler les cœurs et les envieux
Ces bottes lui venaient d'une histoire
Qu'un peu plus tard je vous dirai au mieux
La belle fleur s'était assortie
Pour s'en sortir au delà des orties
Et les bottes lui donnèrent appétit
A rencontrer les gens de la partie
Pourtant la fleur n'avait pas prévu
Chaussé ainsi aller vers l'imprévu
D'un inconnu qu'elle n'avait jamais vu
Elle lui parla non sans quelques bévues
Les bottes de sept lieux
Cela fait des envieux mais
Les bottes de sept lieux
Cela est capricieux
Alors la fleur tout à son discours
Prit peur de la botte qui court
Qui l'emmena en dehors de la cour
Et cette histoire du coup tourna court
Qu'il est désespérant de voir
Autre que l'ogre de l'histoire
Une fleur même dans le désespoir
Chausser les bottes juste pour voir
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Par lalex76 le 16 Septembre 2011 à 02:12
Les fous ne sont pas ceux qu'on pense
C'est une folie que de penser
Est fou aujourd'hui celui qui pense
Alors que d'autres sont désoeuvrésLe fou est celui d'intérieur
En chacun transmet la peur
Celle de toutes les couleurs
Même celle d'un avenir meilleurFaut être fou pour espérer
Plus fou encore pour douter
Bien marteau pour exister
Où d'autre ne font que respirerEnfermez donc ce fou que je ne saurai voir
A double tour dans un placard
Laissez moi donc vivre ma vie
Tranquillement et sans envieLà n'est pas fou qui veut
C'est un grand luxe et quelques envieux
Me demande le soir pluvieux
Comment ma folie est au mieuxC'est assez simple je leur dis
Il suffit d'accepter aussi
Le regard tendre de l'ennui
D'y passer ses nuitsAu p'tit matin chose surprenante
Comme si la chose avait grandit
La folie qui parfois vous manque
Que j'arrose comme un banditCar elle pousse la belle fleur
A croire même qu'elle aurait un coeur
Quand d'autres vivent la douleur
Elle m'apporte la chaleur
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Par lalex76 le 13 Septembre 2011 à 20:55
L'histoire est surprenante à l'approche de l'hiver
L'arbre prenait la pente des rêves à l'envers
Partait dans le grand somme comme une introversion
Laissait au vent la somme de ses feuilles par millions
Or une feuille rebelle s'accrocha à sa tige
Quand d'autres toutes belles pensaient à lâchaient prise
Elle voulait voir l'hiver autrement que par terre
Etait prête à la bise, au froid et aux calvaires
Ce que l'arbre ne sut c'est qu'elle réussit
A se maintenir nue dans son coin d'paradis
Qui en hiver pourtant a les brûlures du froid
Ce qu'elle ne savait pas, et ce qu'elle accepta
Elle en vit de bien belles du haut de son perchoir
Les flocons de dentelles et les lueurs du soir
L'envol de l'hirondelle et même un p'tit rouge gorge
Qui buvait le jus d'orge en parlant de plus belle
Ainsi passa l'hiver et l'arbre se réveilla
Un peu surpris ma fois d'être juste recouvert
D'une petite feuille qui était encore verte
Lui racontant l'hiver le début des primevères
Les arbres ont de la feuille, il l'écouta longuement
Il en fut même touché, mais posa la réalité
Tu es de toute beauté mais tu doit t'effacer
J'ai les bourgeons qui poussent il te faut t'en aller
Et la feuille rebelle partit aux quatre vents
Dans le printemps naissant elle oublia le temps
Et se mit à rêver pour ne pas s'endormir
D'avoir comme ami un arbre ça n'est pas pire
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Par lalex76 le 10 Septembre 2011 à 00:16
La lune boit en cercles concentriques
Si tu vois l'un des hic qu'elle pose aux abois
Fais un voeux car la lune boit comme font les poêtes
En cachette parfois pour que dure la fête
Un avion de la nuit emmène vers lointain
Les voyageurs aussi qui tous n'en savent rien
La lune boit cette nuit et les étoiles au loin
Partagent ses envies vers les lendemains
La lune boit en cercles concentriques
Et la brume s'extase de cette ivresse aussi
Quand la lune remplit encore un autre verre
Les nuages éphémères s'enivrent aux dessert
Quel bel oasis la lune dans le ciel
Quand les constellations parraissent toutes belles
La lune boit le calice des lendemains poubelles
Où à défaut de vice j'ai révé la donzelle
La lune boit en cercles concentriques
C'est la loi du grand hic santé à celle que j'aime
Demain pas de panique la lune cuvera
Ces rêves de dentelles retrouvera son roi
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Par lalex76 le 9 Septembre 2011 à 23:46
Le monde se fout de tout
Et Je me fous de vous
Car je suis fou de vous
Vous m'en voyez jaloux
Je ne suis pas des loups
Qui lèvent les tabous
Cornes de cariboux
Me pèsent sur le cou
Oui je me fous de vous
Car je suis fou de vous
Et vous laissez aux loups
Mon coeur tel un caillou
Dans la nuit le hibou
Pose sur ses genoux
Folie que j'ai de vous
Et garde ce bijou
Je me foutrai de vous
En silence à genoux
Car je suis fou de vous
Jusqu'à la délivrance
Qui pointe par à coup
Les chemins des errances
Et du coeur les coups
Amènent l'espérance
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Par lalex76 le 4 Septembre 2011 à 14:59
Il est au point du jour une fleur qui tourne
En suivant les contours de la course du soleil
Un joli tournesol qui indique pareil
Sais tu bien que l'on tourne en belle cabriole
Dans cette famille là nait un canard gris
Il avait désappris au jour du premier soir
Il indiquait la nuit et la famille hagard
Questionne sa survie quand le soleil part
Quand la nuit s'en approche il parle aux étoiles
Et quand le matin proche il se couvre du voile
Que tous les grand ancêtres ont posé vers le soir
C'est au matin que l'être s'en va vers le plumard
Il n'est pas solution il te faut revenir
Dors un peu et oublie la course du grand soir
Pourtant j'aimerai mieux et à défaut de pire
Tournoyer dans le cieux quand le soir délire
J'aime les envolés des Cassiopée
Et celles d'un dauphin qui gambade au lointain
Une étoile polaire et vers le matin
La brillance éphémère des bergers de demain
Tournesol au soleil retourna sa pareil
Et discuta sa vie aux nuits des merveilles
Il s'éprit un soir d'une luciole toute belle
Qui brillait en soleil astre qui resplendit
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