• Quel monde de M

    Ce monde que j'M

    Et sans ce Monde

    Suis-je moi m'M

     

    Quel monde y suis-je

    Où je m'en vais

    Quel monde le suivre

    Où s'enterrer

     

    J'M ce monde

    Qui ne se dit

    J'M ce monde

    Qui s'en dénit

     

    Au fond du Monde

    M'M pas dit

    Révolte gronde

    Espoir survie

     

    Où dans le monde

    C'est là que j'vis

    Je troublis-onde

    Et je t'envie

     

    Toi qui du monde

    Prit ton parti

    Qui hors le monde

    Libre survit

     

    Quel monde de M

    Ce monde que j'M

    Et dans ce monde

    Suis-je moi m'M


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  • Mon amour a les yeux de l’Azur
    Et le ciel d’extérieur n’est déjà plus grand chose
    Quand ces yeux me regarde au passé sans un mur
    Alors qu’éternellement du présent je dispose

    Mon amour danse encore dans notre maisonnée
    Et le chant sous la douche résonne au futur
    Qui viendra s’il veut bien me rendre mon aimée
    Au présent la distance s’efface et me murmure

    Mon amour dans le coeur s’amuse à l’unisson
    Mélodie rythme font un présent d’impatience
    Au passé délivrance de nos corps la mousson
    Au futur la moisson qui transperce le silence

    Mon amour comme tu es au présent s’il en est
    Je t’envoie de l’instant mes plus tendres baisers
    Et repars déjà vers notre liberté
    Qu’on partage toi et moi au delà des nuées


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  • A trois kilomètres heure ça défile moins vite

    Que la marche un peu rythme pour arriver à l'heure

     

    A trois kilomètres heure ça glisse le long de l'eau

    Le paysage tableau d'un maître des couleurs

     

    A l'écluse au montant c'est le bel ascenseur

    A l'écluse avalant comme l'eau vers la mer

     

    A trois kilomètres heure la pensée vagabonde

    Elle navigue sur l'onde d'un bateau toute vapeur

     

    A trois kilomètres heure le virage s'ensuit

    Par le geste précis d'un capitaine sans peur

     

    A l'écluse au montant c'est à la précision

    A l'écluse avalant c'est la libération

     

    A trois kilomètres heure voici déjà le soir

    A chercher le bollard pour poser quelques heures

     

    Les rêves et les espoirs des marins intérieurs

    Qui demain partent déjà à trois kilomètres heure


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  • La chanson d'excellente

    Le texte en disait presque trop

    Vibrations des silences

    Disaient point trop n'en faut

     

    Chanson s'en est allé

    Voguer sur les rivières

    Le large lui faisait peur

    Chanson des profondeurs

     

    Elle voulait voguer

    Glisser  le grand canal

    Remonter une écluse

    En descendre une autre

    Passer

    Sans s'en apercevoir

     

    C'est comme les saumons

    La chanson vers la source

    Sur l'eau de la rivière

    La chanson d'éphémère

     

    C'est quoi de plus normal

    Au fil de l'eau elle rencontre

    Une oreille qui se ballade

    Ou deux d'ailleurs

    Allez savoir

     

    Et la chanson part vers la terre

    S'ensuit vers les sentiers

    Et comme la graine au vents dorés

    S'y plante pour passer l'hiver

     

    C'est au printemps suivant

    Drôle d'histoire

    Que s'écoule dans les vents

    Des histoires

     

    Parait-il que part ici

    Il est une lieu merci

    Qui déverse des chansons

    Dans le canal à la mousson

     

    Mais que faut-il donc faire?

    Est-ce bien raisonnable

    Ces chansons de travers

    A peine nées, quittent l'arbre

     

    Pour aller voir ailleurs

    Au fil de la rivière

    Et vers le grand large

    Ce qu'il y a de meilleur

     


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  • Chouette, c'est maintenant, l'histoire commence maintenant!

    Chouette, c'est aujourd'hui, l'histoire commence aujourd'hui!

    Trêve d'attendre que le jour tombe, et se relève, et retombe, etc

    C'est maintenant, c'est chouette, le bonheur c'est maintenant!

    Mais comment faire?

    Rien de plus simple, avant de dire, le faire!

    Bonjour bonheur, t'as quoi à faire?

    Un petit chemin rien de sérieux, car pourquoi faire?

    Chouette, c'est maintenant, le bonheur c'est maintenant!

    Y a pas d'attente, genre trois minutes, faut que j'me prépare

    Non, non, 

    Là Maintenant,

    là tout de suite

    Rien d'autre avant

    Tout pour la suite


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  • Y a rien

    Y a tout qui va

    Je rêve

    Les flots

    De notes

    Les drapeaux

    Des autres

    Les fachos 

     

    Y a rien

    Y a tout qui va

    Je rêve

    Partir les mots

    C'est l'autre

    Arrête le flot

    Qui note

    Le beau

     

    Y a rien

    Y a tout qui va

    Je rêve

    Matin d'arrêt

    Sans trêve

    Qui flottent

    Sur la grève

    C'est l'eau

     

    Y a rien

    Y a tout qui va

    Je rêve

    Silence sève

    La nuit

    Comme à midi

    Le coeur

    Etourdi

     

    Y a rien

    Y a rien du tout

    Y a tout qui va

    C'est fou

    Ne dure pas

    A genoux

    Dans les bras

    Des loups

     

    Y a rien

    Et y a tellement

    Tellement rien

    Ca remplit tout


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  • Mais que faut-il en dire

    Que faut-il en penser

    Quand certains crient le pire

    D'autres évitent de penser

    A commencer par dire

    On oublie de penser

    Commençons par penser

    Au risque de se taire

    C'est bien facile à dire

    Et beaucoup moins à faire

    L'affaire est-elle sensée

    Quand elle oppose ainsi

    Le dire et le pensé

    Ne puis-je dire l'un

    En n'en pensant pas moins

    Ne puis-je penser l'autre

    Le cacher dans un coin

    Puis-je dire ma pensée

    La donner toute entière

    Sans qu'à la la dire ainsi

    S'entrouvre une portière

    Vers une autre pensée

    Qui se cachait derrière

    Et si je me taisais

    La pensée délaissée

    Et comme prisonnière

    De n'avoir d'autres pensées

    Avec qui discutait

    Pour sur m'en voudrait

    Est-ce à dire qu'il arrive

    Qu'une pensée discute

    Avec ses semblables?

    Mais bien sur!

    Mais si la pensée parle

    Qu'ai-je besoin de le faire?


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  • La question est: vous avez des questions? 

    A force de questionner, on questionne la question

    Qu'est-elle cette question? A-t--elle droit d'exister?

    Toute les questions ont doit à l'existence

    Libérons les questions, Libérons les questions , libérons les questions, !!!!!

    Sans questions pas d'réponse

    Les réponses, c'te question!

    Méfiez-vous des réponses

    Seules celles rares et bien faire

    Vous questionnent davantage

    Pour faire dans la tête

    Un bouquet de fleurs rares

    Des questions à perte d'horizon

    N'est-ce donc pas le but

    De toute vrai question?

    Méfiez-vous des réponses

    Qui ne sont pas les votres

    Et pourtant des réponses

    Il y en a qui sonnent

    C'est quand à la question

    Les hommes que nous sommes

    Posent l'observation

    Bien au delà du somme

    LA question en devient

    Une réponse qui somme

    Tous ceux qui posent question

    A questionner en somme

    Non la réponse

    Non la question

    Mais leur implication.

    Dans le monde et en somme

    Qu'il soit de la quesiton

    Qu'il soit de la réponse

    Ou des réponses pardis

    La vrai fluctuation

    Est celle des on dit!

    Qui jamais la question

    Qui jamais la réponse

    Nullepart allentour

    Pose c'est moi qu'ai dit!

    ALors je dis ici

    Qu'à la question la seule

    Il est une réponse,

    Une seule,

    Qui dira que comme un oui

    J'ai bien une question

    Car sinon tout est dit

    ET c'est hors de question!


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  • Quand j'étais pas bien grand me vint comme une envie

    D'une flute traversière qui juste me disais

    Qu'elle pourrait transporter les rèves et les envies

    Voire même la pensée en ce monde éphémère

     

    Après qu'un musicien un accordéonniste

    M'expliqua rapidement les règles de la piste

    Je partis par le monde oubliant l'air triste

    La flute sur le coeur qu'il faut au flutiste

     

    La suite parrait simple sauf qu'au détour des jours

    Une belle princesse passant aux allentours

    Séduit le beau flutiste et tritura son coeur

    Qu'il ne pu même un mi sur l'instrument réveur

     

    Il passa des annés sur le silence même

    Qu'avant cette drôle d'hisoitre d'autres lui disait

    Il cherchait intérieur le pourquoi du problème

    Qu'à l'extérieur parfois on arrive à trouver

     

    Alors au placard la flute silencieuse

    Décida de se taire même pour son amant

    Et jura que plus tard quand on la sent réveuse

    Elle tairait les airs qu'elle fait en chantant

     

    Un peu plus tard donc l'homme se trouve bien seul

    Et là bien délaissé refouille ses tiroirs

    Y redécouvre belle la flute qui fut rieuse

    Y ose comme un souffle qu'elle transforme en linceul

     

    Ainsi donc toi aussi quand le monde m'abandonne

    Tu tonne ton dénit dit l'homme sans le son

    J'étais toute ta vie dit la flute qui somme

    L'homme de se mettre au pied à ses genoux

     

    A genoux je me mets reviens moi s'il te plait

    Il me plaira peut être quand j'aurais décidé

    Avant l'heure tu peux juste à mes cotés

    Alors seulenemt je pourrais te donner

     

    L'histoire ne dit pas ce qu'il fut de la suite

    Pourtant et croyais moi hier j'ai entendu

    Comme un souffle dans le vent, comme un air de flute

    Qui transpercait le coeur et les coprs en entier


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