• Toi tu danses

    Et toi tu ris

    Toi tu penses

    Et toi aussi

    Toi tu vis

    Oh je survis

    Moi aussi

    C'est ça la vie

     

    Toi tu rèves

    J'aime l'automne

    C'est monotomne

    Mélancolique

    Alcoolique

    Madone

    T'exagère

    J'espère

     

    Juste à coté

    Et pourtant là

    On discutait

    Où l'on s'en va

     

    Toi tu danses

    Et tu souris

    Cela me lance

    Au coeur aussi?

    Certainement pas

    tu me diras

    C'est dans les veines

    C'te veine

     

    toi tu joues

    C'est pas toujours

    C'était c'est fou

    C'est là l'amour

    Tu me racontes

    On verra

    Allez dis moi

    Je joue parfois

     

    Juste à coté

    Et pourtant là

    On discutait

    Où l'on s'en va

     

    Toi t'es où

    Un peu ailleurs

    A la bonne heure

    Et je m'en fous

    Je m'en doutais

    Un peu partout

    Tu doutes de tout

    C'est pas si vrai

     

    Juste à coté

    Et pourtant là

    On discutait

    Où l'on s'en va


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  • Les rivages de l'ailleurs sonnent à l'intérieur

    Quand la chance est donnée à l'immobile d'aller

    Voir c'est un peu plus loin voir c'est surement meilleur

    Où respirer la mer la montagne en entier

     

    Dur c'est au fond de lui c'est la piqure du froid

    Et de quelques insectes qui ont l'été bien court

    Cet été c'est la nuit qui s'efface tout court

    C'est le jour qui dure la lumière malgré soi

     

    Les rivages en entier titanesques tout au fond

    Sont restés comme ancrés de ces ancres marines

    Qui remontent du fond pour s'en laisser aller

    Un bateau bleu marine plus loin que les grands fonds

     

    C'est cascade de montagnes se jettant dans la mer

    C'est la goutte d'aqua qui raconte l'histoire

    C'est les fjords et le nord qui plus loin vers les glaces

    Se désespère un peu de ce monde qui s'efface

     

    Mais que diront-ils donc dans quelques mille ans

    A ne plus retrouver la banquise et sous elle

    Cette vie qui là-haut foisonnait avant celle

    De l'espèce qui l'aurait effacé

     

    Mais pour l'heure les rivages mer et roches enlacées

    Ont imprimé le coeur à coup du marteau de Thor

    Faut-il donc que là haut Odin mène son banquet

    Comme partout la nature nous rappelle son sort

     

    C'est la pluie celle là qui nous est bien ici

    Qui invite l'esprit à penser au grand Nord

    Où nature totale mène le court de la vie

    Où j'ai aimé aussi sans que ça fasse tort

     


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  • Imagine une machine qui réunisse les pensées

    Testée par un chercheur fou avec son propre chat, les voilà tous les deux la conscience de l'autre

    Le chat pose des questions et développe l'histoire, quand au chercheur, à n'en point douter, il développe cet art délicat de la sieste permanente.

    Hors donc plus loin

    Imagine une machine qui puisse se nourir de l'intelligence de chacun

    Commencée à petite échelle, elle est alors testée sur une microsociété, qui par elle invente un système démocratique géré par la pensée collective.

    Rien de plus simple, on donne à la machine (qui n'est qu'une machine, donc un exécutant, au moins pour l'instant) la prérogative de récolter la pensée de chacun et d'en faire une synthèse objective de pensée collective, que chacun consulte pour la décision.

    Ce système s'appelle la pensocratie? pire système à défaut de tous les autres, l'exécutant machine prend la décision au nom du dénominateur commun, et de l'intelligence collective.

    Bien que séduisant, ce système pose un double problème

    Le premier est que, bien qu'exécutant, la machine devient diigeante, au nom de la pensée collective

    Le deuxième vient d'un certain anarchisme, qui porté par un seul individu refusant sa pensée au collectif développe une autre pensée, individuelle, et pourtant pertiente. Les grains de sables ont toujours exité. La machine alors ne récolte pas la pensée collective, et n'a donc d'absolu que ce qu'elle en dira. 

    L'absolu ne supporte pas l'à peu près, et non total en devient une pensée certaine, mais non complète. Preuve que bien que séduisant, ce système ne peut prétendre à la totalité.

    Les dérives pour inscrire au programme l'espoir d'une totalité sont simple. Soit espioner la pensée rebelle, soit la contraindre de force. Ces deux possibilités signent l'incertitude.

    L'espionnage d'une pensée rebelle fausse la pensée elle-même

    La contrainte la pervertie.

    Il n'est donc pas de possibilité d'une réele gestion de la société par la pensée collective, à moins qu'aucun individu de refuse cette idée, ce qui est pour le moins improbable.

    pourtant anticipée, et si proche d'aujourd'hui 

    plutôt rassurant, non?


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  • Les bastions tombent

    Et la guerre devance

    La part de l'ombre

    Les rêves en cadances

    Qu'importe le nombre

    Quand le coeur lance

    L'un l'autre sombre

    L'océan est immence

     

    Où est donc l'épée

    Celle qui tranche à vif

    Où est donc l'épée

    Au delà des récifs

    Où est donc l'épée

    Sortie de son fourreau

    Pour dire le vrai

    L'épée et les couteaux

     

    Tranche ici à défaut de l'aimmeurs

    Tranche la tranche qu'on espère meilleur

    Tranche au fond bien avant le repos

    Comme il faut tranche pour dire merci

     

    Vrai véritable que souvent l'on protège

    Vrai tellement du soleil à la neige

    Et revenir aussi entre temps tellement mieux

    Auprès de tes baisers et des rivages heureux

     

    Alors nettoyer la lame qui a dit

    Et la câler aussi au fin fond d'une larme

    Sans oublier ce qu'elle fut ce qu'elle fit

    Sans oublier surtout le coeur à la table

     

    Et ouis peut-être encore juste de respirer

    Ressentir la fougue et le rêve protégé

    Et puis peut-être encore l'un et l'autre retrouvé

    Et puis là s'endormir et renaître imparfait

     


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  • Comme j'aime et comme j'aimerai

    Cette seconde sur les années

    Ce petit temps où l'on était

    juste à coté pas très longtemps

     

    C'était d'alors et c'est passé

    Certains prétendent que sur avant

    C'était bien mieux que maintenant

    Et avant quoi c'est là le temps

     

    Avant soi même avant qu'on s'aime

    Avant toujours votons avant

    Avant quoi même avant que sème

    L'après qui mène bien plus loin qu'avant

     

    L'après fait peur c'est bien certain

    L'après commence demain

    L'après c"'est ce bel incertain

    L'après l'avant le lendemain

     

    L'après commence maintenant

    L'après c'est surement pour les grands

    L'après d'ailleurs a commencé

    L'après il faudrait l'inventer

     

    Peut-on donc inventer l'après

    Avant qu'il commence à naître

    Peut-on donc inventer d'après

    Sur le terreau de ce qui put être 

     

    L'après rappelle la chanson

    Qui racontait la table rase

    Sur le passé à l'unisson

    Criait debout pour qu'il s'érase

     

    Alors tous ceux qui claironnent

    Que Le passé c'est vachement mieux

    Qu'on n'y peut rien ou juste un peu

    Que c'est passé et c'est tant mieux

     

    Pour revenir parfois souvent

    A un rien de stabilité

    Je pense aux arbes et aux voleurs

    Qui singent leurs humanités

     

    Je vote l'arbre et au delà

    Je vote la nouvelle branche

    Je vote gaïa la magnifique

    Et cela n'a rien d'épique

     

    Je vote sens et la raison

    Je vote contre les pulsions

    Je vote au coeur et aux amis

    Je vote à toutes les jeunesses

     

    Je vote par le système

    Qui définit mpon vote extrême

    Je vote pour que cesse

    Le vote des faiblesses

     

    Je vote pour la plèbe

    A gauche bien sur

    Je vote pour changer

    Le pari du devenir

     

    J'ai la rose au coeur 

    Et le poing qui dit noir

    Je vote rose et garde

    Le poing pour l'espoiir


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  • Les héros de cette histoire s'approchent inexorablement de la station balnéaire. On suppose bien sur qu'ils vont se rencontrer, et c'est ainsi que l'histoire se poursuit. Quel intérêt alors à vous la raconter? Parce qu'il y a rencontre et rencontre, et que pour cette étrange espèce qu'est l'homo sapiens sapiens, l'unicité de l'individu redéfinit encore et toujours la valse des sentiments partagés, ou peut-être est-ce une masurka?

    Il faudrait surement définir plus avant l'Univers de cette époque là, faire voyager nos personnages sur une carte imaginaire, et bien non. Comme dans le théâte classique, l'époque, le lieu, et l'action, sont uniques. Et cela suffit bien à décrire ce qui inévitablement arrivera, à savoir ... mais chut, cela est pour la suite.

    Le lieu donc est la station balnéaire, mais qu'est-ce donc? Il fait dire qu'à force de voyager hors la Terre, les citoyens en vinrent à espérer quelques lieux d'usage, pour recharger l'énergie du vaisseau et d'eux-mêmes. Les premieres stations furent adaptées tout naturellement aux stations orbitales internationales, mais leur fréquentation augmentant vers l'exponentiel, on privatisa le tout, au profil de quelques cousins des chefs d'états sous prétexte de qualité de service et de continuïté de fonctionnement. Il est vrai qu'une station en grève pose toujours grand problème, mais la raison secrète en était surtout que cela restait dans la famille des grands du monde, toujours à l'affut d'une vache à traire, d'une poule aux oeufs d'or. On a beau voyager dans l'espace, on n'en garde pas moins les bonnes vieilles pratiques terrestres qui ont fait leurs preuves. 

    La station balénaire avait cette particularité d'être tant un lieu de recharge que de villégiature, étant idéalement situé en orbite autour de Saturne la magnifique. Les suites royales des hotels de luxe proposaient la vue panoramique sur les anneaux de la géante gazeuse, qui éclairée par le Soleil lointain donnaient en toile de fond toute la féérie qu'abondamment sur Terre on vantait à grand coup de clip publicitaires sur l'intervoy. Le prix du séjour avait d'ailleurs beaucoup baissé, et la station balnéraire était devenue une destination de loisir prisée, pour les voyages de noces ou de funérailles, pour les familles recherchant l'exotisme et la tranquilité, pour les artistes révant d'approcher autrement qu'en virtuel la grande temporelle. Certains même projetaient d'y résider le temps d'une révolution, à savoir soixante quinze temps lents, le tour d'une grande aiguille de l'horloge céleste.

     


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  •  

    • Allumette, tu fais quoi?

    • J'arrive à la base, le temps de me garer

    • je t'attends au poste d'embarquement, grouille-toi

    • du calme, chérie, on n'est pas à la bourre

    Ahlala, sacré Sophia, toujours speedée, toujours à l'heure, toujours prévoyante, toujours top quoi, des amis comme ça, c'est très précieux, parfois fatiguant.

    Moi j'ai du me réveiller avec une demi-heure de retard, bon, là, j'suis presque à l'heure. Je cours dans le couloir de la station d'embarquement. Sophia est là, elle a l'air énervé

    • faut qu'on se grouille

    • aller, ça va

    • votre titre d'envol please, demande l'intervoy

    • voici, voici

    et nous voilà parti sur le tapis glissant. D'un coté les bagages, légers, et de l'autre nous même, et un instant de causette

    • alors tu l'as revu

    • m'en parle même pas, un vrai fantôme

    • quoi, il ne t'a pas rappelé

    • je ne lui ai pas laissé le temps, mais il est toujours occupé

    • je serai toi, je me ferai désirer

    • oui, mais tu n'es pas moi

    • oh mais dit, t'as un nouveau tour d'oreille

    • et oui, les soldes, j'ai pas pu résister

    • cela te va plutôt bien, la pub dit vrai?

    • Laquelle

    • tour d'oreille, j'entends des merveilles

    • oui, pas faux, hihihi

    • ça raconte quoi?

    • Là de suite, l'horoscope galactique

    • alors dit voir?

    • T'es quel signe déjà

    • sirius night

    • « sirius night, les vents galactiques sont avec vous, vous aller faire une rencontre qui changera votre vie »

    • ahah, très drôle

    • mais je ne rigole pas, il se trompe rarement

    • bon, passons

    • moi par exemple, il m'a prédit que j'attendrais un peu énervé une amie en retard

    • quelle prédiction …

    • une rencontre … hum hum, ça te ferait du bien, la fille!

    • Mouais, si c'est avec une plante carnivore de la planète Hunguère, non merci

    • je peux demander plus de précisions, mais cela est payant

    • non merci, aller, on embarque. Prête pour la sieste?

    • Oh oui, je vais choisir un rêve d'île avec un beau flibustier

    • Drôle d'idée, pour moi un film fera l'affaire

    • du genre?

    • Du genre qui ne fait pas trop réfléchir. Et pour Mathilda?

    • Je te dis cela dès le réveil, à toute Allumette


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  • Un monde meurt, un autre né

    Qui étais-je?

    Qui serai-je?

    Là, comme c'est surprenant, ressentir le temps.

    Je pense au sculpteur qui dévoile un cheval d'un marbre bleu ou vert.

    L'enfant lui demande comment savait-il le cheval dans le bloc de pierre.

    Et le sculpteur se tait, quand ses yeux racontent le chemin des errances, la lueur.

    Se sculpte-t-on soi même?

    Comme l'argile ou comme la pierre? Rajouter, retirer?

    Quel est l'outil?

    La main ou le burin?

    Qu'ai-je à retirer? à rajouter?

    Suis-je de roc ou malléable?

    Je me souviens.

    Et la mélancolie m'irrigue.

    Je regarde le temps, il indique 14 temps, 14 instants.

    Qu'est-ce qu'un instant?

    Qu'est-ce que le temps?

    Une soupe de poisson, hum!

    C'est bon, j'avais presque oublié.

    Je sens le sang qui circule de nouveau jusqu'aux doigts de pieds.

    Le coeur bat-il en soi ou pour les autres?

    Suis-je mon coeur? ou plus loin?

    En suis-je l'extérieur?

    Le souvenir, qu'est-ce donc?

    Un autre soi-même, comme une photo de famille?

    La racine de soi-même, comme un essentiel qui brille?

    ...

    La glace fond à l'approche d'une étoile

    J'ai du croiser je ne sais quoi, le vaisseau spatial est recouvert de glace

    Je laisse derrière moi une trainée d'eau qui se sublime, je n'ai jamais autant ressemblé à une comète.

    A l'intérieur de moi aussi, la glace fond. Drôle d'expérience que de sortir de 25 ans de cryogénisation. J'ai des fourmis dans les jambes, dans les bras, les orteils, l'intestin, les cheveux, ça chatouille. Tiens, les cheveux d'ailleurs, où en suis-je. Je m'approche de la glace: quel tête! Une barbe de trois kilomètres, et des cheveux jusqu'au bassin. Il faudra faire quelque chose, rien ne presse. C'est dingo quand même, tout a poussé alors que j'étais congelé. J'avais beau le savoir au départ, le résultat est surprenant! Et les oreilles, voyons voir? Elles ont grandi aussi, à n'en point douter, de vrais beaux pavillons. Quand aux ongles, je ne vous raconte même pas. Une petite séance de douche-cleaning me ferai le plus grand bien. J'ai bien fait d'y penser avant de partir, la douche cleaning non seulement me rendra tout propre tout en me réchauffant, elle fait beaucoup plus: Elle me coiffera, me rasera, me manicurera, etc …

    Un café et j'y vais.

    • Tiens avant de démarrer, j'ai quelle température?

    • T'es à 28 mon grand, me dit Marcel, mon ordi qui sait lire dans les pensées. Je programme le début de la douche-cleaning, cher maître? Je propose de démarrer à 32, histoire de ne pas te bruler.

    • Trop aimable, Marcel, ok c'est parti. Tu m'envoyer pendant que tu y es cet album de Jehtro Tull que j'ai tant?

    • Aqualung, de circonstance pendant une douche-cleaning, comme l'on dit

    • Bon, tes remarques …

    • oui, bien sur, mais je suis programmé pour l'humour également, ahahah!

    • Sacré Marcel, je te reconnais bien là, allez va c'est parti, et pendant ce temps tu me prépares un debreafing de l'époque, le lieu, les évènements, …

    • C'est déjà prêt

    • bon, alors juste un excellent brunch

    • pas de problème, à de suite et bloug bloug sous la douche

    • Marcel!

    • Ok, Ok, mais ça fait quelques temps que je n'ai pu rigoler.

    • Je te rappelle juste que l'humour n'a d'intérêt que par sa rareté

    • Raté Marcel, l'auto-humour je peux l'utiliser?

    • autant que tu voudras, si possible en silence

    • ahahah, trop dar, l'patron!

    • No comment, j'suis content de te retrouver

    • moi aussi, mister

    • Marcel!

    • Pardon, maître

    • voilà mieux, alors musique, maestro

    • j'aime quand tu m'appelles ainsi, voici...


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  • Dur ce matin, un peu chargé la veille mais on a bien rigolé.

    Faudrait que j'pense à dormir un peu, et toutes ces priorités …

    Heureusement, j'ai appris à m'organiser. Premièrement, un café.

    Voilà, alors le planning, il dit quoi?

    Ah oui c'est vrai, dans douze instants, on doit être à la station balnéaire, pour faire une surprise à Mathilda, qui ne s'y attend pas.

    C'est une amie d'enfance, j'ai rencardé les potos pour lui faire un truc dont elle se souviendra, 30 temps, ça ne s'oublie pas.

    Bon, faudrait que je me mette au norme du voyage spatial. Un p'tit séjour dans la bulle de désintoxynation me semble nécessaire. Un p'tit café avant, et après une bonne douche.

    Un quart temps après, j'suis dispo pour la douche. Qu'est-ce donc que le bonheur si ce n'est cet instant où je chante le gospel sous le jet d'eau, et les rêves à tu tête. J'suis bien, hier n'est pas demain.

    Une serviette, j'ai douze temps. Tranquille.

    Tiens, trois messages sur l'intervoy

    Oh David, que veut-il? C'est fini mon trésor, je n'écoute même pas.

    Ma maman, oui c'est vrai, ne pas oublier qu'après le temps en court on fait les boutiques. Trop fort la mother, elle pense à tout, à elle surtout, mais je l'aime.

    Le troisième message est plus circonstancié. Il semble qu'un possible se dessine vers l'un de mes grand projet: un concert galactique sur la planète Gnaqua. J'y ai pas mal travaillé, ça a l'air de répondre. Le message est de l'office du tourisme, qui me propose un rendez-vous. Je rappelle de suite.

    • oui bonjour, Allumette à l'appareil (c'est mon prénom). Je rappelle suite à votre message concernant le concert sur la planète Gnaqua

    • je vous passe le service concerné. Dit une voix qui travaille.

    S'en suit un vidéogramme qui présente l'aventure sur la planète Gnaqua, ses rivages, ses lumières aux trois soleils, ses couchés de comètes, etc …

    • oui, bonjour, je ne vous ai pas trop fait attendre, j'espère?

    • Non, merci. Je rappelle juste par rapport …

    • au projet de concert, oui , bien sur. Ce projet nous intéresse, il faudrait que l'on puisse se rencontrer. Dans les temps suivants par exemple?

    • Oui, très bien, plutôt troisième temps pour moi

    • Troisième temps, deuxième carcan, cela vous convient-il?

    • Très bien, J'y serai

    • pourriez-vous nous envoyer le dossier détaillé

    • je vous envoie cela dans le temps en court

    • Alors à tout bientôt, bon temps

    • A vous de même.

    Ouf, pas le temps de souffler …

    J'appelle l'ordi

    • Marcel? (c'est comme cela qu'il s'appelle)

    • je suis là, que veux-tu Alumette?

    • Donne moi le planning de ce que tu as entendu.

    • Je l'affiche

    • Oulala cela se précipite

    • Je préviens qui?

    • Qui tu sais pour de suite, et après on verra

    • ça roule

    Dans deux instant, il faut que je sois à la base. Je peux le faire!

     

     


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